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Le 2ème REP est l'héritier direct du 2ème bataillon étranger de parachutistes.

Le 2ème REP est l'héritier direct du 2ème bataillon étranger de parachutistes. Mais en qualité de seule unité parachutiste de la Légion étrangère encore en activité, le 2ème REP est également l'héritier de toutes les unités paras Légion d'Indochine et d'Algérie, soit de la compagnie parachutiste du 3ème régiment étranger d'infanterie, précurseur en la matière, des 1er , 2ème et 3ème Bataillons étrangers de Parachutistes d'Indochine et du 1er Régiment étranger de Parachutistes d'Algérie.

Le 2ème BEP voit le jour à Sétif en 1948. Dès le début de 1949, ce bataillon est engagé en Indochine où il se couvre de gloire ; il y restera jusqu'en 1955, date à laquelle il s'embarque pour l'Algérie après avoir reçu la fourragère aux couleurs de la Légion d'honneur. C'est à cette même époque qu'il se réorganise pour adopter une structure régimentaire et devenir le 2ème REP. Depuis sa création, le 2ème REP a toujours été à la pointe des engagements de l'armée française, comme l'indique la liste des opérations auxquelles le régiment a participé (Indochine, Algérie, Kolwezi, Tchad, Liban, Gabon, Golfe, Somalie, Rwanda, Djibouti, Bosnie, RCA, Brazzaville, Bosnie, Kosovo, Côte d'Ivoire,Afghanistan,Mali.

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Infos 2 éme REP

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REP INFOS 01.2016

26 août 2011

L'adieu du général Bouquin à la Légion




Pas de tournée des « popotes », pour le général Bouquin qui quitte la Légion étrangère qu'il commande depuis deux ans. C'est le « 4 », le régiment chaurien qu'il avait choisi pour faire ses adieux, hier. «'' Le'' régiment référence, le creuset, là où se forge le savoir-être du légionnaire, où se bâtit la Légion de demain, celui aussi où j'ai fait mes débuts », explique celui qui y était lieutenant de section en 1981-1982. Trente ans déjà… et bien des choses qui ont « radicalement changé quand d'autres n'ont pas bougé d'un iota ». Ce qui perdure, contre vents et marées, « c'est notre âme », quant au reste, « c'est tout le travail du général et du colonel d'identifier les sujets qu'il faut faire évoluer. Et du conseil de la Légion étrangère ». Ce conseil qui a vu le jour sous son impulsion. Si ses hommes garderont de leur général, n'en doutons pas, l'image d'un homme de terrain, proche de tous, nous garderons, nous, du patron des « Fortes têtes », celle d'un homme de communication, une qualité rare qu'il explique avec simplicité. « La Légion a besoin de communiquer sous peine de prêter le flanc à des gens qui interprètent son silence comme de l'archaïsme ou du protectionnisme. Nous n'avons rien d'inavouable à cacher. La seule part de notre mystère, c'est la leur, celle de nos légionnaires et nous nous devons de la respecter mais nous avons aussi à communiquer parce que nous devons des comptes ».
Affecté à la tête de cette arme d'élite quand elle était en pleine turbulence, souffrant d'« affaires » qui avaient marqué l'opinion et à l'aube de restructurations importantes, le général Bouquin aura su mettre sur les rails de l'avenir cette institution forte de ses traditions et de ses valeurs, la faire avancer avec un grand humanisme. « Nous sommes un système d'hommes performants qui sait évoluer sans jamais perdre son âme », dit-il tout simplement.
« Tout au long de ces années, nous avons clairement ressenti votre attachement au 4e Régiment étranger. Naturellement c'est un régiment du socle, oui, vous y avez fait vos premières armes mais c'est ici que l'on respire le mieux la considération pour Monsieur légionnaire qui vous tient tant à cœur », l'a salué le colonel Talbourdel, commandant le « 4 ». « Cet attachement et la confiance que vous nous avez accordés sont un honneur pour les Fortes têtes ».

Des adieux solennels et forts de symbole

Plus qu'une simple cérémonie, les adieux du général Bouquin à la Légion en général et au « 4 » en particulier ont été ponctués de moments forts de symbole et d'émotion comme seul ce corps d'élite sait en susciter. Ce fut d'abord, une remise de képis blancs, emblématique de l'activité de ce régiment formateur. . Ce fut aussi, le chant du « 4 », entonné par les cadres en guise d'adieu et enfin, une magistrale démonstration de hakka, la danse guerrière des All Blacks, initiée par un groupe de seuls engagés volontaires autour de la valeur « cohésion ».

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Le légionnaire est un volontaire involontaire, un homme qui se résout à être soldat lorsque sa volonté cède devant un destin plus fort que lui. Il sert son destin, et bien le servir est une obligation personnelle qui ne regardent que lui. Dans la dure discipline il sauve sa liberté d'homme ; il est d'autant plus son propre maître qu'il sert plus, d'autant plus fier qu'il sait combien son service est humble... Chacun combat pour soi, pour quelque chose qu'il a fait personnellement plutôt que pour une raison personnelle... Dans cette troupe internationale, on part d'obligations personnelles entièrement souscrites pour atteindre à l'obligation collective.Partout et toujours, je les ai trouvés pareils à eux même et par conséquent, les meilleurs. Dignes et intrépides sous le feu, ils restent fidèles à la règle d'honneur qui interdit à la légion de courber la tête devant le souffle horrible de la mort

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